Avec toutes nos excuses pour nos oublis concernant les anciennes publications de votre journal favori (on bosse dur ici...), voici le n°47 en version dématérialisée:
Portail Internet de la Vésubie - Valdeblore - Mercantour
Aux portes du parc du Mercantour, au carrefour de la vallée des Merveilles, du Boréon et de la Gordolasque, la Vésubie est un joyau pour les amoureux de la nature avec sa flore et sa faune sauvage. Doté d'un riche patrimoine culturel, vous traverserez tous les âges et rencontrerez peut-être le loup au parc Alpha...
lundi 5 novembre 2018
mardi 7 août 2018
jeudi 19 juillet 2018
Les festivités ont
débuté à Roquebillière
Ce week-end, les festivités se sont ouvertes pour Roquebillière dans la vallée de la
Vésubie.
C’est
en effet sous le chapiteau du nouveau village que Stéphane Delaurme a repris
les titres de Charles Aznavour, avec le groupe Benty Brother pour une durée de
deux heures.
Le
concert a commencé avec en première partie un hom-mage à France Gall, par une
jeune et prometteuse chanteuse Estelle Lemee qui, ensuite a laissé le micro à
Stéphane Delaurme qui, tout au long de la soirée, a chanté et interagit avec un
public à la fois enchanté et enthousiasmé, tant par l’artiste que par son
groupe. Pas moins de 150 participants se sont réunis lors de cet événement, qui
s’est clôturé avec le titre « Nous nous reverrons un jour ou l’autre »
… Et c’est chose faite car nous les reverrons bien lors du festin des
traditions le dernier week-end d’août.
Rendez-vous désormais tous les vendredis et tous les mercredis !
Ce
spectacle n’était qu’un avant-gout des festivités organisées conjointement par
la mairie et le département des Alpes-Maritimes qui auront lieu tout au long de
cet été à Roquebillière durant les mois de juillet et août. Dès mercredi, les roquebillièrois
pourront se divertir lors de la soirée dansante, de 21h à 23h, animée par DJ
Christophe Becchetti, la première de cette saison.
COREY PIOTTON
mardi 3 juillet 2018
jeudi 28 juin 2018
Danse Bollywood
Bollywood est le nom donné à l'industrie du cinéma musical indien (de
l’Inde) basé à Mumbai (Bombay). « Bollywood » est une contraction
de Bombay et d'Hollywood. En Occident, « Bollywood » est souvent
utilisé pour désigner le cinéma indien en général. Il désigne un genre
cinématographique qui se caractérise généralement par la présence
de plusieurs séquences chantées et dansées, sur fond de comédies
musicales.
Les danses « Bollywood » sont très variées. Il s'agit d'un
mélange de genres qui s'inspirent à la fois de danses folkloriques
et classiques comme le bhangra, le bharata natyam, les danses de
courtisanes, le kathak classique, et le tawaif. Depuis les années 2000,
le style chorégraphique a largement évolué et s'est imprégné de
danses modernes occidentales (disco, salsa, hip-hop, break dance),
qui se ressentent dans le rythme de la danse indienne. Contrairement
à la danse indienne classique très codée, extrêmement rigoureuse et
plus lente, la danse Bollywood est une danse rapide qui demande
énormément de coordination dans les mouvements.
Marie-France Charbonneau
lundi 14 mai 2018
Formule 1 et RS01 à Roquebillière
lundi 9 avril 2018
Éleveur ou producteur ?
Loin de moi l'idée d'engager une quelconque polémique avec
qui que ce soit. Mais quand on voit les conditions de vie et les
milliers de bêtes abattues, résultat de l'agriculture industrielle, je
ne peux que donner raison aux végétariens et autres associations
de défense des animaux.
Mais à ceux-là j'aimerais dire de ne pas
nous mettre tous dans le même panier. En effet, celui qui entasse
des animaux dans des hangars est un "producteur ".
Celui qui voit naître, grandir, aller et venir ses animaux dans les meilleures
conditions possibles, celui-là est "éleveur".
Oui mais (me direz-vous) éleveur ou producteur, au bout il y la
mort des animaux ?
Le producteur entasse ses animaux dans des camions direction
l'abattoir industriel où l'animal n'est plus qu'un produit.
L'éleveur a conscience que la mort est l'aboutissement de mois ou d'années
passées auprès de ses animaux, il voudrait pouvoir accompagner
ses bêtes jusqu'au dernier moment, mais la loi lui interdit souvent
de le faire .
C'est pourquoi des éleveurs bravent la loi et abattent
les animaux dans leurs fermes, leurs évitant ainsi le stress
supplémentaire de l'abattoir.
Le producteur recevra un chèque sans savoir où et comment
finiront ses animaux.
L'éleveur saura dire à ses clients combien il a pris soin de ses bêtes.
Et même s'il ne le dit pas toujours avec des mots, il espère que
ses clients sauront apprécier la qualité de la viande, fruit d'une
passion et d'un échange entre l'animal et l'éleveur. Qu'au moins
cela conduise à ne plus cautionner l'agriculture industrielle.
L’espace me manque pour approfondir le sujet, c'est pourquoi je
vous renvoie à un livre très intéressant " Livre blanc, pour une
mort digne des animaux " aux éditions du Palais.
Roger ROUX, maraîcher raisonnable.
Loin de moi l'idée d'engager une quelconque polémique avec
qui que ce soit. Mais quand on voit les conditions de vie et les
milliers de bêtes abattues, résultat de l'agriculture industrielle, je
ne peux que donner raison aux végétariens et autres associations
de défense des animaux.
Mais à ceux-là j'aimerais dire de ne pas
nous mettre tous dans le même panier. En effet, celui qui entasse
des animaux dans des hangars est un "producteur ".
Celui qui voit naître, grandir, aller et venir ses animaux dans les meilleures
conditions possibles, celui-là est "éleveur".
Oui mais (me direz-vous) éleveur ou producteur, au bout il y la
mort des animaux ?
Le producteur entasse ses animaux dans des camions direction
l'abattoir industriel où l'animal n'est plus qu'un produit.
L'éleveur a conscience que la mort est l'aboutissement de mois ou d'années
passées auprès de ses animaux, il voudrait pouvoir accompagner
ses bêtes jusqu'au dernier moment, mais la loi lui interdit souvent
de le faire .
C'est pourquoi des éleveurs bravent la loi et abattent
les animaux dans leurs fermes, leurs évitant ainsi le stress
supplémentaire de l'abattoir.
Le producteur recevra un chèque sans savoir où et comment
finiront ses animaux.
L'éleveur saura dire à ses clients combien il a pris soin de ses bêtes.
Et même s'il ne le dit pas toujours avec des mots, il espère que
ses clients sauront apprécier la qualité de la viande, fruit d'une
passion et d'un échange entre l'animal et l'éleveur. Qu'au moins
cela conduise à ne plus cautionner l'agriculture industrielle.
L’espace me manque pour approfondir le sujet, c'est pourquoi je
vous renvoie à un livre très intéressant " Livre blanc, pour une
mort digne des animaux " aux éditions du Palais.
Roger ROUX, maraîcher raisonnable.
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